Sentiment de l’invisible

« C’est le sentiment de l’invisible qui nous force, paradoxalement à regarder le visible comme s’il n’en était jamais que l’approche. De même, pour l’écrivain, toute parole écrite cache une autre parole, non pas tout à fait insaisissable, mais sans cesse différée et infiniment plus essentielle. C’est vers cette parole qu’il tend. »

Henri Michaux

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