« La porte du paradis, c’est le papier blanc. Et la clef de cette porte, c’est ça, c’est ça », montrant le feutre noir qu’il tient dans la main.
« Ça, c’est l’avenir. Un jour, on sera lassé des choses mécaniques. On voudra revenir à des choses belles, fragiles, comme celle-ci », montrant le feutre noir.
Christian Bobin (en entretien avec Edmond Blattchen)