Archives mensuelles : mai 2018

Son visage enfoui

« Hostile aux vérités à éclipses, le poète n’est soucieux que de l’homme à la recherche de son visage enfoui. » Andrée Chédid

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A travers l’essaim des poèmes

« A travers l’essaim des poèmes — intacte et pourtant remuée — la poésie demeure au futur. » Andrée Chédid

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Les signes

« Pour en épeler les signes, la poésie endosse le monde dont elle est issue. » Andrée Chédid

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L’eau de notre seconde soif

« La poésie est naturelle. Elle est l’eau de notre seconde soif. » Andrée Chedid

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Lever des échos

« Il est vital pour le poète de lever des échos et de le savoir. Nul mieux que lui ne s’accorde aux solitudes ; mais aussi, nul n’a plus besoin que sa terre soit visitée. » Andrée Chedid

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Le poème se nourrit de mouvements

« Le poème se nourrit de mouvements. Son rythme est celui de la vague, son dessein est de traverser. » Andrée Chedid

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Un peu en amont

« Toujours un peu en amont du dernier poème vécu, la poésie ne saurait décevoir. Je dis : un peu, car il faut apprivoiser l’impossible ; vouloir qu’un passage existe, à portée de voix, à portée de regard. » Andrée Chedid

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Ce dont nous portons le grain

« Ce qui nous dépasse, et dont nous portons le grain aussi certainement que nous portons notre corps, cela s’appelle poésie. » Andrée Chedid

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