« Faiblesse de l’écrivain qui continue de réclamer à la langue de l’innocence. Où il y a poésie subsiste un moi mal assuré dont le cœur est un enfant. Quelque chose de frêle et d’émerveillé se souvient et tarde à advenir.
Il s’agit de changer sa propre faiblesse en force, de se créer, pour ses dérives, une géographie. Cultiver une certaine forme d’irresponsabilité en même temps qu’une morale du son juste permettant de l’assumer devant tous. »
Jean-Michel Maulpoix