Retour à soi

« C’est la descente heureuse
C’est la nuit sans limite
Les chemins se confondent
Les pierres s’amenuisent
Un grand jardin recueille les restes de nos vies
Et nous parlons le soir une langue inconnue
Que seul un chien comprend
Une étoile ou cet or qui brille dans le vin
Et nous rend à nous-mêmes comme un pain sans levain. »

Georges Haldas

Cet article a été publié dans Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire