Un poème remue les doigts

« À peine souffle le vent
Qu’un poème remue les doigts
Graisse les rouages d’une langue
Qui voit des choses hors du temps
hors du champ de l’espace
Et vit jour après jour avec la seule pensée
De rendre le monde visible une seconde fois. »

Pierre Schroven

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