« Il n’y a pas, je crois, de frontière nette et véritable entre le langage et quelque chose qui en serait privé. (…) Nous sommes des êtres parlants, nous sommes tissés de langages, et nous n’avons accès au réel, il me semble, que par, dans, à travers la langue. Il s’agit donc au contraire de montrer que le poème est une substance … en train de se faire, et qu’il met en mouvement – indissociablement – situations observées et fonctionnement langagier. »
Yann Miralles (en entretien avec Armand Dupuy)