« C’est dans le leurre des mots que s’en va cette avancée aveugle de la langue qui fraie son sens en frottant de la transparence contre de l’opacité. Comme si la poésie s’alimentait conjointement à deux sources apparemment contradictoires : la bouche d’ombre de l’inconscient et la vie quotidienne de la lumière. »
Jean-Michel Maulpoix