« Chaque poème a quelque chose de l’éclair. (…) Il faut que les choses naissent comme naît un organisme, comme elles naissent dans un organisme; que chaque cellule en laisse passer une autre, que chaque mot, chaque silence soient à l’origine d’un autre mot, d’un autre silence, qu’ils engendrent ce cycle, cette unité qu’est aussi un poème. »
Roberto Juarroz