« On s’abandonne à des mots, à des paroles qui sont autant de brise-lames, autant d’éclairs griffant l’horizon.
Ce que l’on croyait à portée de souffle – l’herbe, l’arbre, la maison, le jardin – se brouille et se dérobe. Demeure cette image qui hésite à transparaître, cette voix qui délivre le temps de son cours, eau se faufilant pour éclater parmi les pierres. »
Max Alhau