Une fourmi

« Une fourmi s’ajoute
à la moisson du troupeau.

Elle a gagné contre les pierres.

Elle a sorti de terre
son comptant d’existence.

Passe à travers les ruines
et les blancs du poème. »

Claude Albarède

Cet article a été publié dans Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire