« Un rien parfois
Fait obstacle à l’éclosion
De la parole
Il y a des paresses inexplicables
Des oublis fertiles
Qui opacifient le front des hommes
Le coma des mots
Comme associé au coma des pierres
Dure encore
Et ne nous surprend plus
Dépouille de la souffrance
Nous savons tous
Qu’un jour
Il y a réveil
Une herbe dans le cœur. »
Jean-Luc Gastecelle