« Le cœur traverse les feuillages
il est ce poing qui s’ouvre
cette tache sombre où la lumière
dépose son or
Sur quel versant ?
Celui du don secret
de la ronce
de la violence du vent
qu’il ne cesse de nourrir. »
Pierre-Albert Jourdan
« Le cœur traverse les feuillages
il est ce poing qui s’ouvre
cette tache sombre où la lumière
dépose son or
Sur quel versant ?
Celui du don secret
de la ronce
de la violence du vent
qu’il ne cesse de nourrir. »
Pierre-Albert Jourdan