« J’écris comme si je résistais
comme un petit serpent
mais ce sera le seul geste
de consolation.
Et que voulait le passant ?
Passer.
S’abriter en lui-même.
Retrouver l’aile.
Mais dans les herbes
que l’on fauchait.
Où n’être que solitaire ?
Où se retrouver quand tout aura brûlé dans nos paroles ? »
Thierry Metz