« Tu ne tires plus les mots à toi,
Acceptes de les laisser à leur besogne première, libres.
Les mots occupés à garder le temps
Avec le souvenir vif
De ces espaces où ils restaient encore informulés,
Avec en eux l’étang,
Avec l’onde,
Avec leurs bords ouvrant à toujours plus d’océan. »
Cédric Migard