Le mouvement parfait

« Ce qui est écrit n’est ni bien ni mal écrit, ni important ni vain, ni mémorable ni digne d’oubli : c’est le mouvement parfait par lequel ce qui au-dedans n’était rien est venu dans la réalité monumentale du dehors comme quelque chose de nécessairement vrai, comme une traduction nécessairement fidèle, puisque celui qu’elle traduit n’existe que par elle et qu’en elle. »

Maurice Blanchot

Cet article a été publié dans Citations, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire