« De tes yeux aux miens le soleil s’effeuille.
Sur le seuil du rêve, sous chaque feuille il y a un pendu.
De tes rêves aux miens la parole est brève.
Le long de tes plis printemps l’arbre pleure sa résine
et dans la paume de la feuille je lis les lignes de sa vie. »
Tristan Tzara