« Je tourne la page de l’air
et là j’écris
d’un coup d’aile ou d’un coup d’œil
dans l’excédent qui trouble l’écriture
Mouette du large qui poursuit
sa propre vie dans le sillage
le soleil soluble dans les mots
Je ne suis rien sur cette terre
qu’un de tes pas de ceux qui s’évaporent… »
Charles Dobzynski