« Imagine que tu devais mourir.
Imagine qu’un jour de plus t’est donné, peut-être deux, peut-être mille. Ne compte pas. Etonne-toi. Tu n’as pas oublié de marcher mais tu marches pour la première fois. La joie a fait place nette et tu te réjouis de nommer les choses qui reviennent vers toi. Un mot, un seul et les autres s’enchaînent. Le fil est renoué qui te relie à l’univers, soutenant dans ton ciel les soleils suspendus au-dessus du bal. »
Jean Malrieu