« N’oublie pas d’ôter tes chaussures pour te rendre dans le jardin d’écriture, que tu n’ailles rien écraser, que l’empreinte légère soit singulière, que ton pied puisse être caressé ou piqué par l’herbe des mots et les innombrables fourmis du sens qui courent entre les brins. »
Cédric Migard
on viendra pieds nus demain !
Ou avec vos semelles de vent…