« De mes mains maladroites je bâtis une demeure
un poème d’ailes et d’eaux
(…)
un versant pur d’évangile
je te cache au plus profond de la plus humble fleur
sous l’ortie sèche qui flambe au milieu des cailloux
je n’ai que toi pour faire face à l’inconnu… »
André Laude