Parole désencalminée

« Des soirs

Où un reflet de lampe

Offrirait son feu

A la mèche de ton oeil

 

Des soirs

Où le vent soufflerait contre la vitre

De toutes ses récoltes futures

 

Des soirs

Où le visage de ton amour

Coulerait par le lit

Que font tes paumes

 

Des soirs

Où la plus pure danse

Naîtrait de la parole désencalminée. »

Cédric Migard

 

Cet article a été publié dans Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire