Il conjuguait sa vie

« Il conjuguait sa vie à l’imparfait de l’invisible, au subjectif présent, à l’infini. (…) Le fantôme de Dieu hantait l’arrière-pays, offrant des morts aux fleurs sous l’aspect d’un héron blanc occupé à aiguiser sur l’onde son image. Et soudain, le poème, becqueté à cœur, frétillait hors du courant, étincelant de toutes ses écailles dérobées à la lumière. »

Marc Alyn

Cet article a été publié dans Extraits, Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire