« Lorsque j’écris, je disparais derrière ma main, dans le crayon qui s’agite, sur la page noircie. Penché sur un cahier, le corps se soulève encore. Appuyés sur les mots, les yeux font résonner les phrases. »
Jean-Marc La Frenière
« Lorsque j’écris, je disparais derrière ma main, dans le crayon qui s’agite, sur la page noircie. Penché sur un cahier, le corps se soulève encore. Appuyés sur les mots, les yeux font résonner les phrases. »
Jean-Marc La Frenière