« Celui qui écrit aura fait comme s’il remplissait une coupe avec toute la lumière de l’été, tout ce qu’il y a eu dans l’été, puis, il l’aura soulevée pour la faire briller dans sa main, avec tout ce qu’il y a dedans qu’il faudra avoir dit avant que le gel ne gagne ses doigts. »
Philippe Jaccottet