« Sa voix est ce chant ténu
Ce soir un oiseau murmure
Ce que pense le silence
Et l’air n’a rien retranché
Il s’est contenté de voir
La transparence du jour
Et tout ce qui vit sur terre
Donne souffle à chaque note
Comme une offrande inouïe
Allant toujours sans savoir
Ce soir une voix jubile
La joie n’est jamais avide. »
Jean-Pierre Boulic