L’entrée

« Nul besoin de rafales,
regarde simplement à la frontière de l’haleine,
regarde avec les doigts, tu te donnes, tu inventes
l’entrée d’une maison ou d’un rivage
où tombe, comme autrefois, cette neige légère
sensible aux poèmes, aux mains des aveugles,
annonçant l’aube. »

Pierre Dhainaut

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