Vers le chemin que l’on invente

« La promenade aime les surprises, ces lambeaux de papier froissé où viennent s’écrire d’étranges aventures. La promenade aime aussi le silence et les contes. En posant le pied sur la terre, nous la faisons rêver. (…) La promenade est une parole simple où le désir sonne clair. Son air est vif (…). Il ne s’agit jamais que de marcher ou d’écrire sans bien savoir où l’on va. Être là, somnambule et sensible, les paumes tournées vers le chemin que l’on invente. »

Jean-Michel Maulpoix

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