Brûlant de vos métamorphoses

« Poètes,

(…)

parce que le printemps est un peu de cet air

traversé d’hirondelles descendues de la lune;

parce que la solitude

ou bien un souvenir

se fabrique des mains

qui vibrent et vous reflètent ;

le jour vous laisse franchir

ses miroirs impassibles

et vous suivre brûlant

de vos métamorphoses. »

Claude Saguet

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