Sur le bout de la langue

« Des pays naissent au bout des doigts. Des mers se lèvent sur la page. (…) On peut écrire n’importe où, passer de la mesure humaine à l’univers entier, se reconnaître dans les plantes et ne garder de soi que le meilleur. Je suis debout sur le bout de la langue. Je suis un mot que l’on n’a pas dompté. Je fouille le soleil avec un bout de crayon. »

Jean-Marc La Frenière

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