« Nous nous offrons à la rumeur du monde
(…)
nous habitons l’espace d’un poème inachevé
pour entreposer ce qui nous nomme
(…)
un chant où s’abreuver monte à nos fronts têtus
des mots surgissent du sol
comme ces mains dans le réflexe de la terre
(…)
c’est si peu de temps
de jours dans le bal de la parole. »
France Mongeau