Bien portant

« Un poème n’est bien portant que si son dernier mot
est aussi le premier mot de dix poèmes à écrire,
le premier coup de pinceau de cent poèmes à peindre,
la première note de mille symphonies à composer. »

Alain Bosquet

Cet article a été publié dans Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire