« Les pleurs lui parlent plus bas
D’un mal que la vie endure
En s’enfermant dans les pas
Dont elle était l’aventure
Dans la voix à qui les pleurs
Font porter le poids de l’âme
Une ombre écarte des fleurs
Et lit le nom d’une femme
Et sur ses lèvres de sœur
Le chant s’éloigne et fiance
Ce qui s’est tu dans le cœur
A ses moissons de silences. »
Joë Bousquet