« Il faudrait être tellement attentif, mais tellement en même temps léger, que vous arriveriez à tutoyer le tout début du monde. A chaque seconde. (…) Et le bruit de balançoire c’est aussi une image de cette petite note musicale que rend l’absence, que rendent les fantômes. »
Christian Bobin (en entretien avec David Meichtry)