« Je taille une phrase jusqu’à ce qu’il n’en reste rien, et que ce rien chante comme la feuille d’acacia, quand on la tend entre les doigts pour souffler dessus. »
Christian Bobin
« Je taille une phrase jusqu’à ce qu’il n’en reste rien, et que ce rien chante comme la feuille d’acacia, quand on la tend entre les doigts pour souffler dessus. »
Christian Bobin