Le poème tient dans la main

« Le poème tient dans la main
le temps d’un voyage à fleur de chair

A la lisière d’un bruit fragile
dont l’envie dure

(…)

Avec ses feuilles
qui ont plus que du vent à raconter
c’est la permission de séjour

Avec ses fruits
tombés à terre
il décide des grands départs. »

Claude Albarède

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