« Ceux qui n’osent plus regarder le jour
mêlent l’écorce et le couteau
ils tailleront des récité édentés
ils embrasseront des bouches sans rivière
La terre a ses chemins pour éveiller
ses champs pour retourner l’hiver
en faire une lecture de poésie
elle a ses bois où le jour palpite
avant d’entrer dans la chambre. »
Claude Albarède