« J’écris dans l’entretemps. J’entretiens le vestibule du silence, tout ce qui remue autour des mots, les sentiers qui bifurquent, les mobiles d’errance. (…) Les yeux s’ouvrent sur un labyrinthe intime. (…) Le cœur change de visage à chaque nouvelle phrase. (…) Les phrases les plus simples nous mènent le plus loin. Écrire est comme marcher. »
Jean-Marc La Frenière