« Un minuit sans horloge
L’hiver des solitudes qui cerne la maison
Avance à pas feutrés.
Fleurs moisies au velours incarnat,
Des ombres ont éclos sur les murs.
La vie aura passé comme une caravane.
Les chiens aboient à la dernière étoile
Là-bas où l’herbe est rare…
Moi aussi, je deviendrai une chanson. »
Roger Lecomte