« Mon corps transpire des vagues de parole. Je prends part au rêve des pommiers. Je participe au banquet des oiseaux. Je bouge dans l’orage et la douceur des menthes… La pluie tombe comme des équations sur les chiffres des fleurs. La terre s’agrandit par la somme des fruits. Le pain, peut-être, nourrira l’espérance… J’ai dessiné le ciel sur une porte fermée et j’ai vu des oiseaux s’envoler aussitôt. »
Jean-Marc La Frenière