« Les mots me servent de remise, d’appentis où refendre la douleur. Fermant les volets sur la nuit, un air glacial prend mon visage. J’écris que l’hiver est revenu, il n’avait pas fini son travail. »
Ile Eniger
« Les mots me servent de remise, d’appentis où refendre la douleur. Fermant les volets sur la nuit, un air glacial prend mon visage. J’écris que l’hiver est revenu, il n’avait pas fini son travail. »
Ile Eniger