« De la présence du monde à la présence au monde, c’est dans la solitude que l’on est le moins seul. Il suffit d’une miette pour raconter le pain… Mes mots sont tachés de résine, de poussière, de boue. Ils se tiennent debout pour accueillir la lumière, le vent entre les pierres, l’odeur des greniers, l’ombre bouleversante d’un visage. Penchés sur une page, ils réveillent une langue endormie. »
Jean-Marc La Frenière