« Je reviens souvent bredouille entre les pages d’un cahier. On n’attrape pas le soleil. On ne rattrape pas le vent. On ne lève pas comme le blé. C’est à peine si la station debout nous rapproche des arbres, si les oreilles entendent les ultrasons de l’âme. C’est à peine si les yeux effleurent l’invisible. Il y a beaucoup de souffrance dans le monde. Je cherche son pendant. J’écris en égaré… M’éloignant de la page en écrivant ces mots, je me retrouve ailleurs. J’atteins l’autre bord des choses. »
Jean-Marc La Frenière