« L’eau m’attendait à la fontaine.
J’allais vers elle,
Son innocence,
A travers les grands arbres
De la forêt sans fin.
L’eau me connaissait.
J’étais chez moi
Au long de ce sentier.
Le vent dans les arbres
Faisait comme un chant.
Le silence était à moi. »
Eugène Guillevic