« Ton regard s’ouvre infiniment
Lorsqu’un papillon déplie le dessin de ses ailes
Sur la fleur, le vieux mur
Tu te redécouvres parmi l’éboulement
Tesson dont la peinture à demi effacée
A gardé son pouvoir de métonymie
Et raconte de sa voix pauvre la scène primordiale
Tout vient à point dans le fouillis des existences et des paysages
Même le brouillard qui t’entoure, te pénètre
Contient ses quelques grammes de lumière. »
Cédric Migard