« La forêt est prise sous les reproches d’un orage.
J’aime qu’il y ait de l’air dans une page.
J’écris pour sentir le grand large,
Comme on sent l’air du mois de mai
Entre une chemise un peu ample et la peau nue.
L’écriture est ce souffle qui sort des lèvres
D’un nouveau-né dormant. »
Christian Bobin