« Voix gardée pour l’absence,
je te serre dans mon souffle,
captive et silencieuse.
Caressant mes haillons,
mes meubles, mes papiers,
ma main devient l’aile…
Et chaque objet libère
son double en mon regard. »
Jacques Izoard
« Voix gardée pour l’absence,
je te serre dans mon souffle,
captive et silencieuse.
Caressant mes haillons,
mes meubles, mes papiers,
ma main devient l’aile…
Et chaque objet libère
son double en mon regard. »
Jacques Izoard