« Il ne faut point recroqueviller ses bras de l’encre et de la feuille. C’est l’heure de tendre les mains, d’accorder un mot de bienvenue à la note inouïe surgissant de la transparence du vide. »
Jean-Pierre Boulic
« Il ne faut point recroqueviller ses bras de l’encre et de la feuille. C’est l’heure de tendre les mains, d’accorder un mot de bienvenue à la note inouïe surgissant de la transparence du vide. »
Jean-Pierre Boulic