« C’était un jour violent comme l’été
et tu parlais à ton enfance doucement
dans cette langue d’étrangère
qui avec patience demande son chemin
à qui ne le sait pas.
Savais-tu
tandis que ta voix buvait le silence
combien il te faudrait franchir d’adieux
pour trouver la force de chérir sans mots ni larmes
tes vies disparues ? »
Jean-Pierre Siméon