« Si un mot ici touche à mes frontières, je le laisse y toucher.
Si la Bohème est encore au bord de la mer, de nouveau je crois aux mers.
Et si je crois à la mer, alors j’ai espoir en la terre.
Si c’est moi, c’est tout un chacun, qui est autant que moi.
Je ne veux plus rien pour moi. Je veux toucher le fond. »
Ingeborg Bachmann